Mercredi 23 avril 2008 à 11:45

Faute-Oo m'a posé une question l'autre jour dans un commentaire.
Comme celle-ci est intéressante je me permet d'y répondre dans un article.


Qu'est-ce qui me fait autant aimer le corps d'une femme?



S
a douceur et ses courbes,

qu'il me soit si proche et poutant inconnu,
car je ne cesse chaque jour
d'en découvrir la beauté et la richesse.

J'aime le corps de la femme
comme un objet d'art et de passion,
une création merveilleuse,
une source infinie de questions.

J'admire, je révèle,
j'exhausse les charmes qu'il renferme.
Rien pour moi n'est plus belle oeuvre,
que les photos que j'expose ici.

Et quoi de mieux alors
pour représenter la sensualité,
l'indécence ou le péché,
que toutes ces femmes ici dévoilées?

Mardi 22 avril 2008 à 10:43

Ceci est un article totalement inutile mais profondément jouissif:


J'ai pris mes places pour le concert de Miyavi !!!!




PS:
Et je viens de les recevoir!

!

Mardi 8 avril 2008 à 18:00


I
l était une fois...



Le petit chaperon rouge
et le grand méchant loup.

Moi dans ton lit,
et notre histoire à nous.

Un joli conte éphemère,
u
ne passion sans tabou.

Histoire d'une nuit,
où je te dévoilerai tout.



Lundi 7 avril 2008 à 19:18

Belle maîtresse aux courbes aguichantes,
fais-moi tourner la tête, rêver de ton corps.
éveille le désir et rend-moi aux abois,
je serais ton soumis si tu veux bien de moi.
Je prendrai entre mes mains, ton pied de reine,
ô ma Cybèle, sauvage et naturelle,
tu seras ma Fétiche, mère de tous mes vices,
laisse-moi embrasser et lécher, les parcelles de ta peau,
que dans ton infinie sagesse, tu voudras bien m'offrir,
ma Déesse, ma Prêtresse, entre mes lèvres tu entendras,
les prières que j'esquisse, louanges et hommages
à ta décadence, mon Ange, à ta magnificence.




[
Je t'offrirai mon innocence.
Tu me feras pécheur.
De tes beaux yeux, Cybèle,
je serai l'adorateur. ]

Lundi 7 avril 2008 à 17:48

Visage de marbre immobile,
conte-moi ce que tu vois depuis toutes ces années,
ce qu'observe ton regard dans cette pierre figé,
les couples enlacés et les amants nocturnes,
qui sur ta stelle se sont aimés, embrassés ou quittés.

Conte-moi bel Adonis, l'amour intemporel, antique et passionné,
de celui qui a scellé pour l'éternité, dans un corps parfait,
toute ta spendeur et ta vérité, afin de ne jamais oublier,
l'homme que tu as été.

A-t-il caressé ton corps afin de te sculpter?
Pour en connaître par coeur chaque courbe, chaque aspérité?
A-t-il ai te rendre celui, qui aujourd'hui et à jamais
comtemplera sans faillir la vie des mortels, fantômes du passé.



<< Page précédente | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | Page suivante >>

Créer un podcast