Vendredi 23 novembre 2007 à 20:45

Regarde-moi sans y paraître,
tu m'admireras sans que je m'y prête.

Je te ferai pousser des soupirs,
dans tes yeux seul s'exprimera ton désir.

Que chacun de mes gestes te fasse rêver.
J'aime que tu m'observes à la dérobée.

Du coin de l'oeil, je te vois,
alors que sans doute tu ne le sais pas.


Comme j'aime jouer le rôle de ton adorée.
Que tu es beau dans celui de l'homme passionné.



Tu rougis?

Je te trouble.
Dis-moi chenapan,
essayais-tu de voir sous mes vêtements?



Oeillade coquine,
mon Doux, je te taquine.
Profite à ta guise,
car ce n'est qu'à ton regard que je suis soumise.



Mardi 20 novembre 2007 à 18:21

Ma chanteuse du moment,
et le refrain qui tourne en boucle dans ma tête.



[ Shake that naughty body ]





A
nna Tsuchiya



Et dire que je l'ai vu en concert à la JE 2006...



Mardi 20 novembre 2007 à 13:16


J
'ai connu la douleur,

j'ai connu l'épuisement,
j'ai connu mon corps au bord de la rupture,
j'ai connu le renoncement.

Et les boîtes de médicaments qui s'entassent,
et l'inconnu,
l'impossibilité de mettre un mot sur le mal...

Je veux rêver de nouveau,
sans me poser de question,
je ne veux penser à ceux qui sont là-haut
que pour leur rappeler ma dévotion.

La souffrance n'a de bon,
que dans le plaisir.
Aimer jusqu'à en souffrir,
aimer jusqu'à en pleurer.

Je souffre aujourd'hui de ne pouvoir t'aimer,
que mon corps soit allité,
loin des draps de soie de nos péchés...

Vendredi 16 novembre 2007 à 0:24





Il avait les mains d'un homme
et le visage d'un enfant.

J'observais sa peau lisse,
ses lèvres gourmandes,
tandis que ses mains erraient sur ma peau.

Malgré ses airs juniles,
il n'avait plus l'innocence d'un enfant,
et c'est avec la force d'un homme,
que sa bouche trouva la mienne.

C'est lourd de sa passion,
que son corps couvrit le mien,
que ses mains malmenèrent ma peau,
et je sentis son désir.

Non, il n'avait plus l'innocence d'un enfant.

Mercredi 14 novembre 2007 à 12:35


Entre dominante et dominé.


[
Le jeu du chat et de la souris. ]



Soit à moi joli minet.

Je veux que tu me sois acquis.

Mais si rien n'est jamais décidé,

alors c'est peut-être moi qui te sera soumis.


Je ronronne et te mords,


sauvage,

charnelle,

animale.



Proie à savourer,

peau au goût de sel,

saveur exquise sur ma langue,

j'y laisse la marque de mes dents.


Puis je te laisse chancelant,

l'esprit hagard et le souffle court.

Plus jamais tu ne sauras fantasmer,

ton rêve sera devenu réalité.



<< Page précédente | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | Page suivante >>

Créer un podcast