Vendredi 7 septembre 2007 à 18:39

Les garçons dans son genre n'aime pas les filles comme moi.



Hors norme.

Excentrique.

Qui ne passe pas inaperçue.



Les filles dans son genre n'aime pas les filles comme moi.


Provocante.

Différente.

Qui se moque des convenances.



Peu m'importe qu'on me juge,

peu m'importe qu'on me critique,

peu m'importe qu'on me jalouse,

tant qu'on me regarde.



Je vis pour vous faire parler.

Dimanche 2 septembre 2007 à 13:44


P
eut-être que je casse mon image
mais je vous présente quand même un autre de mes univers,
juste parce que j'en suis fière et qu'après tout, je suis tout ça.
J'ignore encore ce qu'il va devenir, mais pour l'instant
c'est juste histoire d'en prendre plein les yeux.


Rated R



Dimanche 2 septembre 2007 à 13:26

- Geisha -

Une geisha () est au Japon une dame raffinée d'excellente compagnie réservée à une clientèle très aisée, dédiant sa vie à la pratique d'excellence des arts traditionnels japonais . Le mot « geisha » peut s'interpréter comme « personne d'arts » ou « femme qui excelle dans le métier de l'art ». Les geisha étaient très nombreuses aux XVIIIe et XIXe siècles. Elles existent encore aujourd'hui bien que leur nombre décroisse.

D
ans le dialecte de Kyōto, les geisha sont dénommées geiko (芸妓) et leurs apprenties maiko (舞妓) alors que dans d'autres régions du Japon on pourra utiliser les termes d' hangyoku ou d' oshakusan pour désigner les jeunes filles en apprentissage
.


- Historique -

C
'est au 18e siècle que la geisha fait son apparition dans le milieu dissolu de la société japonaise, comme une forme d'opposition ou de rivale morale à la courtisane (avec laquelle on le confond trop souvent) régnant à lpoque. Après des siècles de domination guerrière sous la tutelle des samours, ce sont les marchands, nouveaux bourgeois, qui vont prendre le haut du pavé des grandes capitales nippones et vont instaurer un nouveau code moral empreint de valeurs esthétiques et artistiques. Les Japonais ont toujours eu un sens aigu de la hrarchie et même la prostitution pondait à ces structures pcises.

J
usque vers la moit du 18e siècle, on pouvait consommer à plusieurs niveaux la prostitution, soit dans les rues, soit dans les maisons closes des quartiers chauds. Les reines de cette époque étaient les Tayû ou Grandes Courtisanes, qui surclassaient les autres autant par la finesse de leurs manières que par le luxe dont elles faisaient étalage. Mais comme elles étaient fort coûteuses, on songea alors à former des femmes (quelques hommes aussi) qui allieraient plusieurs aptitudes à la beauté pour divertir les bourgeois noceurs. Dans les réceptions, on fait de plus en plus appel à ces personnes capables de danser, chanter, jouer d'instruments différents, raconter des histoires, faire des acrobaties ou donner de petits spectacles. Les geishas naissent ainsi de ce désir de marier tous les plaisirs en une seule personne. La Gei (art) Sha (personne) allait sormais incarner la plus esthétique des manifestations du plaisir et du divertissement.



- Apprentissage -

L
es geisha sont le sultat de lvolution des taikomochi ou hōkan, équivalent aux bouffons du Moyen Âge en Europe. Ainsi, les premiers geish

Dimanche 2 septembre 2007 à 13:01


Couvre ma peau de poudre de riz,
doucement qu'elle se nimbe d'un voile de blanche pureté.

Lentement fais glisser sur ma peau la soie du kimono,
et c'est avec art et application que tu noueras mon obi.

Peigne délicatement les longues mèches noires de mes cheveux,
décore-les d'un peigne de nacre et d'ivoire.

Applique sur mes lèvres un rouge de sang,
dessine mes yeux d'un noir charbon,

je serai alors prête pour la cérémonie,
quand sortant de la maison
je passerai mes zori.



[ Je ne suis pas fille de joie.

Admire-moi lorsque tu me vois

mais jamais n'ose poser la main sur moi. ]

Vendredi 31 août 2007 à 21:07


Je repartirai sans laisser de trace,
un coup d'oeil au miroir,
une main passée dans les cheveux,
un léger trait de rouge à lèvres.


Je te laisserai de cette nuit,
mon parfum dans les draps,
ma chaleur sur ton corps,
mon souvenir impérissable.


[ Amante fantasmagorique. ]


Tu as soupiré en rêve,
tu te demanderas si j'existe.

Et si tu réveilles,
nu et attaché au lit,
dépouillé de tes billets
et essouflé de la nuit.

Tu sauras que j'existe
mais que contre tout plaisir
je prend contrepartie.

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