Ils ont été une partie de ma vie,
pour exprimer mon ennui et mes envies,
toutes les facettes de ma personalité,
toutes ces existences que j'ai créées.
Voilà qu'aujourd'hui je me plais à me les remémorer,
à admirer leur charisme et leur individualité.
Ils avaient leur existence propre,
inconsciemment moi, puis tant d'autres choses imaginées.
pour exprimer mon ennui et mes envies,
toutes les facettes de ma personalité,
toutes ces existences que j'ai créées.
Voilà qu'aujourd'hui je me plais à me les remémorer,
à admirer leur charisme et leur individualité.
Ils avaient leur existence propre,
inconsciemment moi, puis tant d'autres choses imaginées.
Je recherchai depuis quelques jours son nom,
son image me hantait mais je ne pouvait la nommer,
quant enfin je me décide à retrouver celle qui était,
qui continu à vivre dans ma mémoire sans s'exprimer.
son image me hantait mais je ne pouvait la nommer,
quant enfin je me décide à retrouver celle qui était,
qui continu à vivre dans ma mémoire sans s'exprimer.
Elle s'appelait Jiyaë,
perle de nacre dans un écrin de velours sanglant,
dirigeant d'une main ferme un équipage bruyant,
c'était le monde de la piraterie,
barbare mais si attirant.
" Abaissée et accoudée au chambranle du navire, sa longue chevelure ondulait, enflammée cascade qui comme un torrent s'épanouissait sauvagement jusqu'à ses reins, brillant sous les rayons d'un soleil déjà haut.
Etrange que cette jeune femme, censée de tous temps parcourir les mers, car sur sa peau, pas la moindre trace des coups ardent de l'astre, un chef d'oeuvre d'albâtre immaculé et laiteux que sa claire carnation parait somptueusement.
Elle était donc ainsi, statue à la blancheur marmoréenne et pourtant étincellante, sujet d'observation pour les badauds qui erreraient sur le port, comme observatrice elle-même. [... ]"
perle de nacre dans un écrin de velours sanglant,
dirigeant d'une main ferme un équipage bruyant,
c'était le monde de la piraterie,
barbare mais si attirant.
" Abaissée et accoudée au chambranle du navire, sa longue chevelure ondulait, enflammée cascade qui comme un torrent s'épanouissait sauvagement jusqu'à ses reins, brillant sous les rayons d'un soleil déjà haut.
Etrange que cette jeune femme, censée de tous temps parcourir les mers, car sur sa peau, pas la moindre trace des coups ardent de l'astre, un chef d'oeuvre d'albâtre immaculé et laiteux que sa claire carnation parait somptueusement.
Elle était donc ainsi, statue à la blancheur marmoréenne et pourtant étincellante, sujet d'observation pour les badauds qui erreraient sur le port, comme observatrice elle-même. [... ]"
Commentaires
Par Jeudi 16 août 2007 à 17:30
le Bon je doit y aller mais je vais repasser pour lire la suite^-^
A++
A++
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au plaisir jolie demoiselle =]