Une fois n'est pas coutume,
voilà des mots qui aujourd'hui me viennent,
qui ne sont pas de moi, mais d'un bien plus grand maître.
Molière aujourd'hui, écrit pour vous servir.
***
- Couvrez ce sein que je ne saurais voir:
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.-
***
-- Vous êtes donc bien tendre à la tentation,
Et la chair sur vos sens fait grande impression.
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte:
Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte,
Et je vous verrais nu du haut jusques en bas,
Que toute votre peau ne me tenterait pas.--
***
Je n'aurais pû mieux le dire,
et cet extrait du Tartuffe est à rougir... de plaisir.
Acte III
Scène 2
voilà des mots qui aujourd'hui me viennent,
qui ne sont pas de moi, mais d'un bien plus grand maître.
Molière aujourd'hui, écrit pour vous servir.
***
- Couvrez ce sein que je ne saurais voir:
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.-
***
-- Vous êtes donc bien tendre à la tentation,
Et la chair sur vos sens fait grande impression.
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte:
Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte,
Et je vous verrais nu du haut jusques en bas,
Que toute votre peau ne me tenterait pas.--
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Je n'aurais pû mieux le dire,
et cet extrait du Tartuffe est à rougir... de plaisir.
Acte III
Scène 2