Vendredi 4 mars 2011 à 11:56

Juste parce que ça fait un bien énorme,
que je vénère cette chanson et ce clip en ce moment
et je n'aurais qu'une seule chose à dire,
fan-service powa!
Il n'y a que ça de vrai!




Oh Dieu Miyavi, pardonne-moi car j'ai péché...
J'avais oublié à quel point ça faisait du bien...
Sur ce!


Lundi 31 janvier 2011 à 21:02

Eros était belle,
son teint pareil à la porcelaine
et ses cheveux d'ébène
faisaient d'elle une parfaite icône,
vestale, de sa féminité elle n'était qu'à l'aube.

Eros était douce,
elle se mouvait, gracieuse déesse
avec élégance et sensualité.
elle était femme mais point pècheresse,
conservant la pureté de son âme bien née.

Eros était aimante
de toutes choses vivantes
qu'elle pouvait côtoyer.
Elle aimait le chaton espiègle,
comme le pur-sang bien dressé.

***

Thanatos n'était pas ce qu'on pourrait dire charmant,
sa beauté était magnétique, animale,
de celle qui fait que les femmes
s'évanouissent en le voyant.

Thanatos n'était pas homme de foi,
de la vie humaine il faisait bien peu de cas.
Il était tueur, homme de l'ombre, ombre d'un homme,
mieux ne valait-il pas, croiser son chemin.

Thanatos n'était pas un homme avenant,
de la courtoisie il ne s'embarrassait guère
et gentleman il n'était que pour satisfaire,
nuits après nuits ses besoins, de sang et de chair.

***

Puis vint le jour où Thanatos vit Eros.
Lorsque son regard se posa sur la Belle
aussitôt il su qu'il ferait d'elle
sa muse, sa reine, la proie d'un désir longtemps inassouvi
celui de connaître une passion dévorante et sensuelle.
L'image était charmante, il la voulait dans son lit.

Comme Thanatos n'était pas homme délicat,
une nuit que sa Douce était bien endormie,
il tua un à un les hommes de sa compagnie.
Son père, comme son frère, passèrent de vie à trépas,
il n'y avait donc plus d'obstacles entre Elle et Lui.



*
**
http://tokyodecadence.cowblog.fr/images/WalkingWithGeraldbyMrKostas.jpg


C'est en se veillant le matin, nue et alanguie,
qu'Eros découvrit le drame de la nuit,
son père, son frère sauvagement tués par les armes
d'un inconnu qui à présent, contemplait ses charmes.
Dans sa poitrine, son cœur ne fit qu'un bond
elle essaya de crier mais en vain,
sa voix refusait d'émettre le moindre son.

Silencieusement, l'homme s'approcha,
sur sa poitrine offerte, elle remonta le drap.
Il se mouvait, félin, tel un grand prédateur,
et lorsque du sang sur la lame elle sentit l'odeur,
plus que la peur panique, c'est le désir qui la submergea.
Elle était seule à présent, en compagnie du tueur
et alors qu'il posa son arme, son bas-ventre se contracta.


***

Thanatos n'y tenait plus, il la désirait pour amante.
Non point effarouchée la vierge semblait accueillante.
Il mit un genou sur son lit, sa main était tremblante,
ses lèvres se posèrent sur celles de la Belle,
et il su que ce soir elle ne serait plus pucelle.

[ Et la Mort lui fit l'Amour. ]

Thanatos baisa Eros, ardemment et avec fougue.
le sang l'attirait, autant que l'interdit,
la Douce gémissait des prières impies
au Dieu nébreux qui entre ses jambes humides
allait, venait, et lui servait de guide.

[ Et l'Amour défia la Mort. ]

Plutôt que de pleurer la mort de ses pairs,
Eros commit le péché de désirer la chair,
de Thanatos, l'homme au regard de démon,
à la peau couleur de miel et au corps d'apollon,
dangereux prédateur, bête assoiffée de sang,
qui soufflait sur sa peau de tendres mots d'amant.


Vendredi 21 janvier 2011 à 21:48

[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.

Lorsque vient le soir, j'observe en silence.
Je suis la nuit autant que la peur,
lorsque tu te couches, seule, je sens ton odeur.
Sous ta fenêtre je hume et le désir me consume.
Ton parfum m'étourdit et je ne suis que maudit,
par cette faim qui m'assaille un peu plus chaque nuit.

Je sais que la route est longue pour visiter ta chambre.
tu n'es pas de celles qui s'ouvrent et qu'après on oublie.
J'ai tout le temps ma reine pour entrer dans ton lit.
Je veux d'abord connaître, le son de ta voix,
invites-moi à entrer, je ne peux faire que ça,
attendre devant ta porte, que tu veuilles bien de moi.

Tu es à moi,
tu es mienne,
j
e tremble de te posséder.
J'aspire à ce que ton corps soit mien,
je l'ai tant observé.
J'en connais la chaleur,
douce et palpitante.
J'en connais les courbes,
tendres et réconfortantes.
Je devine la pointe de tes seins,
sous les plus fines étoffes.
Je les rêves entre mes doigts,
en caressant l'aréole
A cette simple pensée
tous mes sens s'affolent.
Je veux sentir tes seins,
emplir mes mains.
Je veux sentir ton corps,
s'emplir de mon être.
Je te murmurerai tendrement
"Ma douce, n'aie pas peur,
je suis ton serviteur.
Tu ne sentiras rien,
ce sera indolore."
Comme tu es tendre,
comme tu es belle,
je ne peux plus mentir,
ma chérie, je suis ton maître,
je ne veux qu'une chose,
c'est de toi, me repaître.


[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.

Insinueuse idée,
que j'impose à ton esprit,
pourquoi donc n'irais-tu pas,
un peu dehors cette nuit?
Je sais qu'il fait froid,
et que le vent est glacial,
mais quelque chose est là,
auquel tu ne t'attends pas,
quelque chose, ma belle,
qui va changer ta vie.

Enfin!
Enfin, la porte s'ouvre.
Mon Ange, approche,
tu n'as qu'un mot à dire,
depuis des années, je te vois grandir,
enfin, enfin,
je vais connaître tes soupirs.
Tu es belle, indolente,
et tu ignores encore
que tu seras mon amante.
Je serais doux avec toi,
je te le promets.
Je suis sage à présent,
que je te sais à portée.


[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.

http://tokyodecadence.cowblog.fr/images/flyaroundmybodylittlebbyDrastiquePlastique.jpg


J'ai eu plusieurs vies pour connaître les femmes,
je ne puis me vanter d'avoir causer des drames
mais aux quatre coins du monde j'ai pu faire mes armes,
et de chaque exotisme j'ai pu goûter les charmes.

Alors ma belle,
sans être prétentieux...
Tu rougis déjà?
ne te cache pas les yeux.
Je te le dis aujourd'hui
ne sois donc pas timide.
Ta pudeur est charmante
et ton trouble m'excite.
Ne tardons pas mon amour,
la nuit va être longue,
je veux boire à la coupe,
de ton corps tremblant,
les frissons des spasmes
qui naîtront en gémissant.

Tu pourrais mourir de m'avoir trop aimé
et cela bien avant que je n'ai épuisé
toute mon ardeur d'amant sur ton corps de déesse.
Je ne me gausse pas, ce ne sont pas des prouesses,
mon cœur, n'oublie pas, que je suis un damné,
je peux faire de toi, pour toujours, ma princesse,
et alors mes promesses, seront une éternité.


[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation..

Céderas-tu ma douce,
à mes vœux impies?
M'ouvriras-tu ta porte
afin que je puisse renaître?
De tes lèvres ma jolie,
invites-moi à entrer
que je fasse cette fois plus,
que juste te promettre.



Samedi 1er janvier 2011 à 20:45

On commence à avoir l'habitude,
ce blog continue de perdurer dans le temps,
TokyOdecadence vous souhaite
une merveilleuse année 2011 !

http://tokyodecadence.cowblog.fr/images/Mg2bySatelina.jpg

Au programme?
Encore des nouveaux tatouages,
un nouveau voyage au Japon pour avril,
et surtout, surtout,
vivre sa vie avec passion !

Un nouvel an sur Paris,
Pâques à Tôkyô,
il y a pas à dire,
j'aime ma vie.

Lundi 27 décembre 2010 à 10:07

http://tokyodecadence.cowblog.fr/images/MerryChristmasIguessbyFilmExposed.jpg

Tout est dans l'image!

Joyeux Noël à tous et à toutes!


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