De la musique classique qui, chaque jour, sort de l'appartement,
les notes composées avec habilité sur le clavier du piano,
la lumière tamisée qui éclaire les fenêtres toujours fermées...
Je me plaîs à imaginer, les lueurs tremblantes des bougies,
les doigts blancs et fins qui parcourent les touches,
la solitude et l'odeur capiteuse des encens.
Je ne sais qui habite cette demeure,
fantasmant sur une imaginaire créature,
isolée et silencieuse, mystérieuse aussi,
se complaisant simplement
dans la musique de son instrument...
Laissez-moi regarder par cette fenêtre,
laissez-moi observer celui qui se trouve à l'intérieur,
celui qui m'envoûte et me berce de ses notes,
si proches, si lointaines...
[ Laissez-moi imaginer.]
les notes composées avec habilité sur le clavier du piano,
la lumière tamisée qui éclaire les fenêtres toujours fermées...
Je me plaîs à imaginer, les lueurs tremblantes des bougies,
les doigts blancs et fins qui parcourent les touches,
la solitude et l'odeur capiteuse des encens.
Je ne sais qui habite cette demeure,
fantasmant sur une imaginaire créature,
isolée et silencieuse, mystérieuse aussi,
se complaisant simplement
dans la musique de son instrument...
Laissez-moi regarder par cette fenêtre,
laissez-moi observer celui qui se trouve à l'intérieur,
celui qui m'envoûte et me berce de ses notes,
si proches, si lointaines...
[ Laissez-moi imaginer.]
Comment ne pas se laisser prendre au jeu de l'imagination lorsqu'on en écoute un air ?