[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.
Lorsque vient le soir, j'observe en silence.
Je suis la nuit autant que la peur,
lorsque tu te couches, seule, je sens ton odeur.
Sous ta fenêtre je hume et le désir me consume.
Ton parfum m'étourdit et je ne suis que maudit,
par cette faim qui m'assaille un peu plus chaque nuit.
Je sais que la route est longue pour visiter ta chambre.
tu n'es pas de celles qui s'ouvrent et qu'après on oublie.
J'ai tout le temps ma reine pour entrer dans ton lit.
Je veux d'abord connaître, le son de ta voix,
invites-moi à entrer, je ne peux faire que ça,
attendre devant ta porte, que tu veuilles bien de moi.
Tu es à moi,
tu es mienne,
je tremble de te posséder.
J'aspire à ce que ton corps soit mien,
je l'ai tant observé.
J'en connais la chaleur,
douce et palpitante.
J'en connais les courbes,
tendres et réconfortantes.
Je devine la pointe de tes seins,
sous les plus fines étoffes.
Je les rêves entre mes doigts,
en caressant l'aréole
A cette simple pensée
tous mes sens s'affolent.
Je veux sentir tes seins,
emplir mes mains.
Je veux sentir ton corps,
s'emplir de mon être.
Je te murmurerai tendrement
"Ma douce, n'aie pas peur,
je suis ton serviteur.
Tu ne sentiras rien,
ce sera indolore."
Comme tu es tendre,
comme tu es belle,
je ne peux plus mentir,
ma chérie, je suis ton maître,
je ne veux qu'une chose,
c'est de toi, me repaître.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.
Insinueuse idée,
que j'impose à ton esprit,
pourquoi donc n'irais-tu pas,
un peu dehors cette nuit?
Je sais qu'il fait froid,
et que le vent est glacial,
mais quelque chose est là,
auquel tu ne t'attends pas,
quelque chose, ma belle,
qui va changer ta vie.
Enfin!
Enfin, la porte s'ouvre.
Mon Ange, approche,
tu n'as qu'un mot à dire,
depuis des années, je te vois grandir,
enfin, enfin,
je vais connaître tes soupirs.
Tu es belle, indolente,
et tu ignores encore
que tu seras mon amante.
Je serais doux avec toi,
je te le promets.
Je suis sage à présent,
que je te sais à portée.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.
J'ai eu plusieurs vies pour connaître les femmes,
je ne puis me vanter d'avoir causer des drames
mais aux quatre coins du monde j'ai pu faire mes armes,
et de chaque exotisme j'ai pu goûter les charmes.
Alors ma belle,
sans être prétentieux...
Tu rougis déjà?
ne te cache pas les yeux.
Je te le dis aujourd'hui
ne sois donc pas timide.
Ta pudeur est charmante
et ton trouble m'excite.
Ne tardons pas mon amour,
la nuit va être longue,
je veux boire à la coupe,
de ton corps tremblant,
les frissons des spasmes
qui naîtront en gémissant.
Tu pourrais mourir de m'avoir trop aimé
et cela bien avant que je n'ai épuisé
toute mon ardeur d'amant sur ton corps de déesse.
Je ne me gausse pas, ce ne sont pas des prouesses,
mon cœur, n'oublie pas, que je suis un damné,
je peux faire de toi, pour toujours, ma princesse,
et alors mes promesses, seront une éternité.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation..
Céderas-tu ma douce,
à mes vœux impies?
M'ouvriras-tu ta porte
afin que je puisse renaître?
De tes lèvres ma jolie,
invites-moi à entrer
que je fasse cette fois plus,
que juste te promettre.
Je suis la tentation.
Lorsque vient le soir, j'observe en silence.
Je suis la nuit autant que la peur,
lorsque tu te couches, seule, je sens ton odeur.
Sous ta fenêtre je hume et le désir me consume.
Ton parfum m'étourdit et je ne suis que maudit,
par cette faim qui m'assaille un peu plus chaque nuit.
Je sais que la route est longue pour visiter ta chambre.
tu n'es pas de celles qui s'ouvrent et qu'après on oublie.
J'ai tout le temps ma reine pour entrer dans ton lit.
Je veux d'abord connaître, le son de ta voix,
invites-moi à entrer, je ne peux faire que ça,
attendre devant ta porte, que tu veuilles bien de moi.
Tu es à moi,
tu es mienne,
je tremble de te posséder.
J'aspire à ce que ton corps soit mien,
je l'ai tant observé.
J'en connais la chaleur,
douce et palpitante.
J'en connais les courbes,
tendres et réconfortantes.
Je devine la pointe de tes seins,
sous les plus fines étoffes.
Je les rêves entre mes doigts,
en caressant l'aréole
A cette simple pensée
tous mes sens s'affolent.
Je veux sentir tes seins,
emplir mes mains.
Je veux sentir ton corps,
s'emplir de mon être.
Je te murmurerai tendrement
"Ma douce, n'aie pas peur,
je suis ton serviteur.
Tu ne sentiras rien,
ce sera indolore."
Comme tu es tendre,
comme tu es belle,
je ne peux plus mentir,
ma chérie, je suis ton maître,
je ne veux qu'une chose,
c'est de toi, me repaître.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.
Insinueuse idée,
que j'impose à ton esprit,
pourquoi donc n'irais-tu pas,
un peu dehors cette nuit?
Je sais qu'il fait froid,
et que le vent est glacial,
mais quelque chose est là,
auquel tu ne t'attends pas,
quelque chose, ma belle,
qui va changer ta vie.
Enfin!
Enfin, la porte s'ouvre.
Mon Ange, approche,
tu n'as qu'un mot à dire,
depuis des années, je te vois grandir,
enfin, enfin,
je vais connaître tes soupirs.
Tu es belle, indolente,
et tu ignores encore
que tu seras mon amante.
Je serais doux avec toi,
je te le promets.
Je suis sage à présent,
que je te sais à portée.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation.
J'ai eu plusieurs vies pour connaître les femmes,
je ne puis me vanter d'avoir causer des drames
mais aux quatre coins du monde j'ai pu faire mes armes,
et de chaque exotisme j'ai pu goûter les charmes.
Alors ma belle,
sans être prétentieux...
Tu rougis déjà?
ne te cache pas les yeux.
Je te le dis aujourd'hui
ne sois donc pas timide.
Ta pudeur est charmante
et ton trouble m'excite.
Ne tardons pas mon amour,
la nuit va être longue,
je veux boire à la coupe,
de ton corps tremblant,
les frissons des spasmes
qui naîtront en gémissant.
Tu pourrais mourir de m'avoir trop aimé
et cela bien avant que je n'ai épuisé
toute mon ardeur d'amant sur ton corps de déesse.
Je ne me gausse pas, ce ne sont pas des prouesses,
mon cœur, n'oublie pas, que je suis un damné,
je peux faire de toi, pour toujours, ma princesse,
et alors mes promesses, seront une éternité.
[ Invites-moi à entrer.]
Je suis la tentation..
Céderas-tu ma douce,
à mes vœux impies?
M'ouvriras-tu ta porte
afin que je puisse renaître?
De tes lèvres ma jolie,
invites-moi à entrer
que je fasse cette fois plus,
que juste te promettre.