Visage de marbre immobile,
conte-moi ce que tu vois depuis toutes ces années,
ce qu'observe ton regard dans cette pierre figé,
les couples enlacés et les amants nocturnes,
qui sur ta stelle se sont aimés, embrassés ou quittés.
Conte-moi bel Adonis, l'amour intemporel, antique et passionné,
de celui qui a scellé pour l'éternité, dans un corps parfait,
toute ta spendeur et ta vérité, afin de ne jamais oublier,
l'homme que tu as été.
A-t-il caressé ton corps afin de te sculpter?
Pour en connaître par coeur chaque courbe, chaque aspérité?
A-t-il aimé te rendre celui, qui aujourd'hui et à jamais
comtemplera sans faillir la vie des mortels, fantômes du passé.
conte-moi ce que tu vois depuis toutes ces années,
ce qu'observe ton regard dans cette pierre figé,
les couples enlacés et les amants nocturnes,
qui sur ta stelle se sont aimés, embrassés ou quittés.
Conte-moi bel Adonis, l'amour intemporel, antique et passionné,
de celui qui a scellé pour l'éternité, dans un corps parfait,
toute ta spendeur et ta vérité, afin de ne jamais oublier,
l'homme que tu as été.
A-t-il caressé ton corps afin de te sculpter?
Pour en connaître par coeur chaque courbe, chaque aspérité?
A-t-il aimé te rendre celui, qui aujourd'hui et à jamais
comtemplera sans faillir la vie des mortels, fantômes du passé.
Bizoux !