[ Touche-moi à Tôkyô ]
Je te ferai voyager,
bien plus loin que les frontières.
il n'y aura pas de retour en arrière,
si ton but est de m'accompagner.
J'avance sans me retourner,
j'agis sans jamais regretter.
Je te ferais connaître les plaisirs,
de milles civilisations,
l'art de l'amour, du baiser,
tout cela dans un soupir,
tout cela sans quitter ta nation.
Mon corps est un pays inconquis,
je t'en ferais l'explorateur.
Tu ramèneras de tes voyages,
aux confins de l'envie,
milles cris, milles saveurs,
desquelles tu te feras le conteur.
Tes récits se feront légendes oubliées,
car après milles temps,
on ne croira plus longtemps,
qu'ai pû exister pareille beauté.
[ Conquistador,
plante ton pennon
dans la terre vierge de mon corps,
que tu connaissais de renom
mais donc tu découvres sous tes doigts,
les merveilles, les trésors.]
Je te ferai voyager,
bien plus loin que les frontières.
il n'y aura pas de retour en arrière,
si ton but est de m'accompagner.
J'avance sans me retourner,
j'agis sans jamais regretter.
Je te ferais connaître les plaisirs,
de milles civilisations,
l'art de l'amour, du baiser,
tout cela dans un soupir,
tout cela sans quitter ta nation.
Mon corps est un pays inconquis,
je t'en ferais l'explorateur.
Tu ramèneras de tes voyages,
aux confins de l'envie,
milles cris, milles saveurs,
desquelles tu te feras le conteur.
Tes récits se feront légendes oubliées,
car après milles temps,
on ne croira plus longtemps,
qu'ai pû exister pareille beauté.
[ Conquistador,
plante ton pennon
dans la terre vierge de mon corps,
que tu connaissais de renom
mais donc tu découvres sous tes doigts,
les merveilles, les trésors.]
Je préfère les circonvolutions de ton cœur;
Ton corps est mon navire et parfois ma chaloupe,
Tu en es la proue et je n'en suis que la poupe.